Je pourrais faire ma fille offusquée par votre article, mais je vais plutôt le prendre au deuxième sens, comme il faut toujours faire avec vous parce que votre opinion est toujours la bonne selon vous et que vous êtes snob et vous en êtes fier. Je suis d'accord avec le fait que plusieurs femmes de nos jours sont vraiment des poupounes finies. On peut donner l'exemple d'Anne-Marie Losique qui embrasse tout ce qui bouge ou de Paris Hilton qui ne sait même pas comment fonctionne un aspirateur. Mais de là à dire tout ce que vous dites sur toutes les femmes qui se maquillent, vous êtes borné et pas à peu près.
Se maquiller n'est pas un handicap, et vouloir montrer qu'on est belles et féminines non plus. Une belle femme, c'est charmant, c'est séduisant. J'adore me maquiller et me poupouner pendant une heure avant de sortir, mais ça ne fait pas de moi une saloppe finie dont l'intelligence est limitée. Je suis très intelligente, ce qui sort de ma bouche n'est pas que maquillage et sacoches. Je suis capable de faire valoir mes points de vue, je suis capable d'avoir des discussion qui font preuve de votre forme d'intelligence. J'adore la télé-réalité au point de réécouter la saison d'Occupation Double une deuxième fois, mais j'écoute aussi des émissions et des films qui contiennent une morale et des leçons de vie. J'adore aller au restaurant entre filles et rire aux éclats. Mais j'aime aussi passer une soirée avec mon frère à écouter le hockey ou discuter n'importe quand avec n'importe qui des sujets plus sérieux de la vie.
Pour ce qui est de votre opinion sur l'instinct maternel, je suis en total désaccord avec vous. Ce n'est pas vous qui portez l'enfant pendant 9 mois, qui ne dormez pas de la nuit et qui souffrez à l'accouchement. Alors après toutes ces épreuves, c'est normal qu'on ait des idées sur comment élever notre enfant. On a jamais dit qu'on allait pas écouter notre mari. Mais lorsqu'un bébé pleure, c'est souvent lorsqu'il sera dans les bras de sa mère qu'il arrêtera de pleurer.C'est par instinct, c'est comme ça et on ne peut pas changer ça.
J'espère que ça vous a fait du bien de parler comme ça des femmes. Ce que vous avez écrit, ça ne m'offusque pas parce que je sais que c'est à cause de votre jalousie intense des femmes. Je suis certaine que vous aimeriez être à la place d'une de celles qui étaient dans votre classe de cinquième année.